Pot à khôl sur un support

Egypte probablement.

Du Moyen Empire au Nouvel Empire (de 2033 à 1069 avant J.-C. environ).

[voir chronologie]

Albâtre égyptien.

H. 5 CM : D. 4,1 CM

Co. 680

Comment

State of preservation

Pas de col.

Description

Pot à khôl en albâtre égyptien.
La forme du vase est habituelle. Le col (une collerette probablement) a été scié, ou il était à l'origine réalisé à part et rapporté sur le vase (comme pour Co. 2788). Petit pied en bourrelet.
Le vase repose sur un petit support arrondi (de même diamètre que la base), muni de quatre petits pieds. Le pot et son support forment une seule pièce.


Vase identique à Co. 2788.

D’autres exemples de pots à khôl reposant sur un support en forme de petite table sont connus, de matières et de formes variées. Deux d’entre eux publiés par BISSING 1904, p. 50, sont conservés au musée égyptien du Caire, CG 18293 (en albâtre) et CG 18295 (en anhydrite). Une photo de ces vases figure dans BENEDITE 1911, pl. 21. Ils sont datés du Nouvel Empire. On remarquera à la fois la différence de matériau et de forme, concernant aussi bien le pot que le support.

Le musée Rodin en possède deux autres exemples : Co. 2766 (en serpentinite) et Co. 2691 (en pierre gris foncé).

Inscription

Anépigraphe.

Historic

 

Acquis par Rodin entre 1893 et 1913.
 

Donation Rodin à L'état français 1916.

Historic comment

Parmi l'abondante collection de vases en albâtre, Rodin choisit celui-ci pour servir de socle à une statuette d'Éros en terre cuite (Époque hellénistique, IIe s. avant J.-C.) de sa propre collection. Il en inversa les courbes en le retournant puis fixa la statuette avec une tige métallique. Cet assemblage composé de deux antiques rejoint le travail de l'artiste sur l'assemblage des vases en albâtre avec ses propres figures en plâtre. L'artiste joua, comme dans nombre de ses œuvres, de l'équilibre instable de la figure sur le socle.

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Vase à anses

Egypte probablement.

Epoque prédynastique et thinite > Dynastie 0-1 (de 3500 à 2900 avant J.-C. environ).

[voir chronologie]

Albâtre égyptien.

H. 10,5 CM : D. lèvre : 4,7 CM : D. max de la panse (aux anses) : 6,1 CM : D. base : 2,2 CM

S. 681

Comment

Description

Ce vase en albâtre égyptien est de couleur jaune miel, avec des rubans plus clairs autour de la panse et une petite tache blanche sur le fond.
Ce récipient est en forme de gobelet à paroi droite, s’élargissant régulièrement vers le haut puis se rétrécissant légèrement vers le bord. La lèvre forme un petit bourrelet.
Deux petites anses verticales percées horizontalement ornent le haut de la panse à l'endroit où elle est le plus renflée. La base est plate.


Les vases en forme de gobelet ou de tonneau, munis de petites anses percées, sont surtout connus aux époques prédynastique et thinite. Ce type particulier est attesté de Nagada III à la Ière dynastie (ASTON 1994, p. 96, type 16 ; EL-KHOULI 1978, p. 163-174, pl. 49-50).


Des vases semblables à S.681, également en albâtre, ont été trouvés sur différents sites de cette période, par exemple à Abydos (cf. PETRIE 1902, pl. XXVII) ou à Tarkhan (PETRIE 1914, pl. XXVII, type 71-j). Il en existe une variante, avec les oreilles percées prises dans la paroi du vase.
Un récipient similaire est conservé au Kunsthistorisches Museum de Vienne, sous le numéro d’inventaire 6894. Il a été trouvé en 1909-1910 pendant les fouilles d’Hermann Junker sur le site de Toura el-Esmant en Haute-Égypte.
Un autre exemplaire se trouve à Bruxelles, aux Musées Royaux d’Art et d’Histoire (E. 4458). Il a été trouvé par Petrie dans une tombe à Tarkhan en 1912-1913.
Les deux vases que nous venons de citer sont plus grands que S.681 (hauteur : 15 cm. et 14,5 cm. respectivement).
Pour d’autres exemples dont la provenance est connue, consulter la liste donnée dans ASTON 1994, p. 96, type 16.


La fonction exacte de ce vase est inconnue, mais étant donné sa petite taille et son matériau, il s’agissait sans doute d’un récipient à onguent, placé dans la tombe pour accompagner le défunt dans l’au-delà. Sa forme ressemble à celle du vase Co. 2682, mais ce dernier n’est pas muni d’anses.

Inscription

Anépigraphe.

Historic

Acquis par Rodin entre 1893 et 1913.

Donation Rodin à l'État français 1916.

 

Historic comment

Rodin se servit de ce vase, issu de sa collection, pour en faire en matériau de son œuvre en l'assemblant avec une figure en plâtre, Nu féminin à tête de femme slave, qu'il avait réalisé au préalable. Il réalisa ce type de travail entre 1895 et 1910. Deux autres vases de collection ont été également utilisés pour des assemblages, Co. 2825 et S. 3622.

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Vase à onguent cylindrique

Égypte probablement

De l’époque thinite à l’Ancien Empire > Ière-IVe dynastie (de 3100 à 2500 avant J.-C. environ)

[voir chronologie]

Albâtre égyptien

H. 20,2 CM : D. lèvre : 12 CM : D. base : 8,1 CM : P. 16,4 CM

Co. 3380

Comment

State of preservation

Le vase est en bon état. Quelques éclats sont visible sur la lèvre, la panse et la base. La base est érodée.

Description

Ce récipient est en albâtre égyptien de couleur jaune miel pâle, translucide, présentant des rubans blancs (panse) et des taches blanches (lèvre, base). La panse est fissurée verticalement, de la lèvre à la base.

 

Ce vase cylindrique est légèrement évasé, à paroi rectiligne, muni d’une lèvre en bourrelet et d’une base plate. En haut de la panse, une ligne en relief striée, très effacée, qui est l'imitation d'une corde, habituelle sur ce type d'objet.

Un côté du vase est légèrement plus haut que l’autre. La base n’est pas tout à fait circulaire.

 

Ce type de vase est très courant en Egypte, notamment à l’époque thinite et à l’Ancien Empire. Il s’agit du « vase à onguent » cylindrique, appelé bas par les Anciens Egyptiens. Sa forme est simple : un gobelet à parois droites, évasées ou concaves, muni d’une lèvre plate sur le dessus, et pourvu ou non d’un pied. Les exemples les plus anciens, des époques prédynastique et thinite, peuvent être très grands (25-40 cm.). Ils sont parfois décorés d’un motif de corde en relief placé en haut de la panse. A partir de la fin de l’Ancien Empire, leur forme est plus élancée, et le vase présente un pied large. Ceux du Moyen Empire sont plus petits (moins de 13 cm. de haut), et cintrés (cf. ASTON 1994, p. 99-105 ; EL-KHOULI 1978, pl. 1-46 pour les typologies). Cette forme perdure jusqu’au Nouvel Empire (voir les exemplaires inscrits provenant des dépôts de fondation du temple d’Hatchepsout à Deir el-Bahari, conservés au Metropolitan Museum of Art de New York).

 

Co. 3380 présente des parois droites se rétrécissant vers le bas, ce qui le rapproche du type 31 de B. Aston (cf. ASTON 1994, p. 103), attesté de la Ie à la IVe dynastie.

Voici un exemplaire conservé au Metropolitan Museum of Art de New York (01.4.86), provenant de la tombe du roi Djer à Abydos (Ie dynastie, vers 3100-2900 avant J.-C.).

 

Le type de corde représenté sur Co. 3380 est attesté de la Ière à la IIIe dynastie, ainsi que sous le règne de Mykérinos à la IVe dynastie (cf. ASTON 1994, p. 99 pour les datations des différents décors sur les vases cylindriques.) : Vase cylindrique en albâtre provenant de Saqqara (tombe 2322), seconde moitié de la IIe dynastie, vers 2750-2649 av. J.-C. New-York, Metropolitan Museum of Art, 12.181.113).

 

Pour d’autres exemples de vases cylindriques, consulter la liste donnée dans ASTON 1994, p. 102-3, type 31, ainsi que les exemplaires publiés dans DERRICKS, DELVAUX (éd.) 2009, p. 319-23. Le musée Rodin possède d’autres vases cylindriques, de formes diverses : Co. 3031 (plus petit et sans décor de corde), Co. 2776 (conique), Co. 3111 (avec collerette et pied), Co. 2772 (modèle de récipient destiné à l’équipement d’une tombe ?).

 

Inscription

Anépigraphe.

Historic

Acquis par Rodin entre 1893 et 1913.

BOREUX 1913 : Meudon / pavillon de l'Alma / vitrine 15, 432, "Vase [dessin] en albâtre. Haut. 20 cm. Estimé cent francs."

Donation Rodin à l'État français 1916.

 

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Vase à parfum (?)

Égypte (?)

Début de l'époque islamique

Marbre ou albâtre (?)

H. 18,4 CM : D. collerette : 3 CM : D. panse : 8 CM : D. ouverture : 0,5 CM

Co. 5602

Comment

State of preservation

Le col, cassé en deux parties, a été recollé. Un fragment du pied a autrefois été cassé et recollé. Quelques éclats sont visibles sur le bord de la partie inférieure, ainsi que sur la collerette et la lèvre. Des concrétions rosées, consécutives à l’enfouissement, recouvrent l’épiderme.

Description

Ce vase est en pierre blanche cristalline (marbre ou albâtre), difficile à identifier étant donné les concrétions qui recouvrent la surface.
Le vase a été réalisé en trois parties : une pour le col et deux pour la panse, coupée verticalement en son milieu. Les trois parties s’emboîtent les unes dans les autres. Un habile système de clé permet d'emboiter la partie médiane et la partie supérieure.
La panse est ovoïde. Le col haut et fin est muni d’une collerette surmontée d’un goulot. La lèvre est en bourrelet. Le vase repose sur un Petit pied court piédouche circulaire.

 

Inscription

Anépigraphe.

Historic

Acquis par Rodin entre 1893 et 1913.

Donation Rodin à l'État français 1916.

 

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Flacon

Egypte (?)

Nouvel Empire (de 1550 à 1069 avant J.-C. environ) (?)

[voir chronologie]

Albâtre égyptien.

H. 8,9 CM : D. col : 3,4 CM : D. panse : 7,4 CM : D. ouverture : 2,7 CM : P. 7,4 CM

Co. 657

Comment

State of preservation

Le col est dépourvu de lèvres. Sur la panse est visible une fissure qui court verticalement de l’ouverture à la base. Le pourtour de l’ouverture est ébréché.
L’intérieur du vase est noirci (sédiment ou résidus de produit ?).

Description

Ce flacon est en albâtre égyptien blanc crème, homogène et translucide. Le col, haut et cylindrique, est dépourvu de lèvres. Elles devaient former une pièce réalisée à part et rapportée sur le vase ou ont été cassées. L’état actuel de l’objet ne permet pas de trancher. La panse est ovoïde et écrasée. la base est  plate et sans arête.


Aucun parallèle exact n’a été trouvé pour cette pièce. Elle rappelle cependant plusieurs séries de flacons inscrits au nom de Thoutmosis III (XVIIIe dynastie, vers 1479–1425 av. J.-C.), cf. LILYQUIST 1995, p. 102 fig. 84, fig. 86 et p. 115, fig. 139 et 149, cat. V. Le dernier est conservé au Metropolitan Museum of Art de New York sous le numéro 26.8.31. Il faisait partie d’un ensemble de récipients à cosmétiques (huiles et onguents) dont les bords de la lèvre et du couvercle étaient recouverts de feuille d’or, trouvé à Thèbes parmi le mobilier funéraire de trois épouses étrangères de Thoutmosis III.
 

Inscription

Anépigraphe.

Historic

 


Acquis par Rodin entre 1893 et 1913.

 

Donation Rodin à l'État français 1916.

 

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Pot à khôl

Egypte probablement

Moyen Empire (de 2033 à 1650 avant J.-C. environ) (?)

[voir chronologie]

Calcaire ou marbre (?)

H. 3,2 CM : D. lèvre : 3,9 CM : D. panse : 3,9 CM : D. pied : 3,6 CM : D. ouverture : 1,7 CM : P. 1,9 CM

Co. 667

Comment

State of preservation

Deux petits éclats sur le bord de la collerette. Ébréchures tout autour de la lèvre et de la base. La surface extérieure est érodée (blanc) et tachée (ocre).

Description

Petit pot à khôl en calcaire ou en marbre, de couleur gris-bleu.
Forme trapue à épaule marquée. Large collerette plate sur le dessus, en diagonale en dessous. La panse et la collerette sont de même diamètre. L’exécution de ce vase est irrégulière.
Pied arrondi en saillie ; son diamètre atteint presque celui de la panse et de la collerette.


Sous le vase est collée une ancienne étiquette sur laquelle est écrit : « A 27 ».


L’érosion de la surface extérieure de ce pot rend difficile l’identification de la pierre dans laquelle il a été réalisé. Co. 667 rappelle par sa forme et ses dimensions un vase conservé au musée du Louvre, à Paris (N. 1175a) : VANDIER D’ABBADIE 1972, p. 79 OT 279, photo p. 81. Il est en albâtre et est daté du Moyen Empire.

Inscription

Anépigraphe.

Historic

 


Acquis par Rodin entre 1893 et 1913.

 

Donation Rodin à l'État français 1916.

 

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Pot à khôl

Egypte probablement.

Nouvel Empire > Probablement début de la XVIIIe dynastie (vers 1500 avant J.-C.)

[voir chronologie]

Albâtre égyptien.

H. 6 CM : D. lèvre : 4,2 CM : D. panse : 4-4,7 CM : D. pied : 3,3 CM : D. ouverture : 2 CM : P. 5,6 CM

Co. 668

Comment

State of preservation

Un éclat sur le bord de la collerette. Ébréchures tout autour de la lèvre et de la base.
L’intérieur du vase est noirci (résidus de produit antique ?)

Description

Pot à khôl en albâtre égyptien de couleur blanc crème, avec des zones plus blanches sur la collerette et un ruban blanc sur l’épaule.
Collerette plate sur le dessus, en diagonale en dessous. Ni la collerette, ni la panse, ni le pied ne sont tout à fait circulaires. Petit pied en relief arrondi.

 

Sous le vase est collée une ancienne étiquette sur laquelle sont écrits deux numéros : « 52 » (?) et « 23 ».


La forme de ce pot est attestée par B. Aston au début de la XVIIIe dynastie (cf. ASTON 1994, p. 147, type 162). Il faut cependant noter que la panse de Co. 668 a une forme irrégulière.


Un exemplaire semblable, en « calcaire noir » a été trouvé sur le site de Gourob, près du Fayoum, et date du règne d’Amenhotep Ier, vers 1500 avant J.-C. (cf. BRUNTON 1927, pl. XXII n° 23). On remarque sur le dessin que ce vase à la même particularité que Co. 668, à savoir qu’il est très légèrement ovoïde.
Voir également les vases en albâtre du musée du Louvre inventoriés N. 1171 (cf. VANDIER D’ABBADIE 1972, p. 80 OT 284 (photo p. 81) et AF. 6766 (Ibid., p. 84 OT 316, photo p. 85).


Pour d’autres exemples de ce type de vase, consulter la liste donnée dans ASTON 1994, p. 147, type 162.

Inscription

Anépigraphe.

Historic

 



Acquis par Rodin entre 1893 et 1913.

 

Donation Rodin à l'État français 1916.

 

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Vase ovoïde à anses

Égypte probablement

Époque prédynastique – époque thinite > de Nagada II à la Ière dynastie (de 3500 à 2900 avant J.-C. environ)

[voir chronologie]

Pierre dure de couleur verte (serpentinite ?)

H. 7,5 CM : D. lèvre : 2,9 CM : D. ouverture : 1,9 CM : D. de la panse (au niveau des anses) : 4,8 CM : P. 6,1 CM

Co. 2985

Comment

State of preservation

Un fragment du vase (panse et base) a autrefois été cassé et recollé. Un petit manque est visible sur la panse au niveau de la fissure. Quelques ébréchures apparaissent sur le bord de la lèvre et de la base. La surface extérieure est légèrement érodée et striée.

Description

Ce récipient est en pierre dure de couleur verte, marbrée de bleu foncé (serpentinite ?)
Cette petite jarre est de forme ovoïde allongée, à étranglement et dont le dessus de la lèvre est plat. La panse est ornée de deux petites anses verticales tubulaires percées.
Base plate et circulaire, rendue en léger relief.


Ce récipient est semblable à d’autres vases de la même collection : Co. 2773, Co. 2803, Co. 2986, Co. 5681 et Co. 6010 (avec des variantes dans la forme et le matériau).


Ce type particulier de vase est mentionné dans Aston 1994 et daté d'une période comprise entre Nagada II et la Ière dynastie (vers 3500 à 2900 avant J.-C.) (cf. ASTON 1994, p. 92, type 4). Il s’agit d’une jarre ovoïde munie d’anses tubulaires et d’un bord aigu, également appelée « jarre en forme de tonnelet » (cf. EL-KHOULI 1978, pl. 55-7, type F).


Bien que les vases du musée Rodin soient des petits modèles (inférieurs à une dizaine de centimètres), on remarque que la hauteur de ce type de vase peut atteindre une trentaine de centimètres, comme ce vase en diorite daté de Nagada II (Chicago, Field Museum 30677).
Les vases de ce type peuvent être réalisés dans diverses pierres, mais en constate une préférence pour les roches marbrées ou tachetées :
- Hildesheim, Pelizaeus-Museum 1541, provenance inconnue, en brèche crème et rose (9,1 cm. de hauteur).
- Hildesheim, Pelizaeus-Museum 1542, provenance inconnue, en calcaire (6,9 cm. de hauteur).
- Dublin, Musée National d’Irlande 1880:1578, provenant d’Eléphantine, en diorite (22 cm. de hauteur).


Il est difficile de connaître la fonction exacte de ces récipients, mais ils étaient probablement utilisés comme vases à cosmétiques. On les découvre fréquemment dans des tombes luxueuses, notamment sur les sites d’El-Amrah et de Nagada en Haute-Egypte.


Pour d’autres exemples de ce type de vase, dont la provenance est connue, consulter ASTON 1994, p. 92, type 4.

Inscription

Anépigraphe.

Historic

Acquis par Rodin entre 1893 et 1913.

Donation Rodin à l'État français 1916.

 

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Alabastron

Méditerranée orientale (?)

Epoque hellénistique et romaine

[voir chronologie]

Albâtre

H. 9,5 CM : D. col : 1,5 CM : D. ouverture : 1,1 CM : D. max de la panse : 2,8 CM : P. 7,8 CM

Co. 3046

Comment

State of preservation

Le col est cassé, la partie supérieure est manquante.

Description

Ce vase est en albâtre de couleur jaune miel pâle, homogène.
Il s'agit d'une panse à forme fuselée et fond conique dont la base est aplatie. Le col cylindrique est étroit et incomplet.


La forme de ce petit alabastron le rapproche du vase Co. 3099, étant donné sa forme allongée, son fond pointu et son col étroit. Pour ces raisons, une datation d’époque hellénistique ou romaine est à privilégier.

Inscription

Anépigraphe.

Historic

Acquis par Rodin entre 1893 et 1913.

BOREUX 1913 : Meudon / pavillon de l'Alma / vitrine 18, 489, "Petit alabastron, à base pointue. Goulot. [dessin] Haut. 97 mill. Estimé vingt cinq francs."

Donation Rodin à l’État français en 1916.

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Vase - fragment de col (?)

Égypte (?)

Datation indéterminée

Albâtre égyptien

H. 5,7 CM : l. 5,2 CM.

Co. 6429

Comment

State of preservation

Cet éclat présente de légères concrétions sur la surface.Une tache verte est visible à l’intérieur, près du bord (peut-être une trace d'étiquette).

Description

Fragment de col de vase (?) en albâtre égyptien de couleur blanc crème, translucide. Le bord est simple et droit. La paroi du récipient est très fine. La paroi du récipient est très fine et sa paroi interne porte des stries de forage.
 

Inscription

Anépigraphe.

Historic

Acquis par Rodin entre 1893 et 1913.

Donation Rodin à l'État français 1916.

 

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